Réhabilitation et surélévation d'un bâtiment universitaire sur le campus de Villejean à Rennes
Connivence avec un sol, un paysage et des usages
Le projet de réhabilitation consiste à rénover le bâtiment existant construit par Louis Arretche en 1967 et d’effectuer deux opérations de transformations : ouvrir le sous-sol sur un nouveau rez-de-jardin par un travail fin de topographie et de paysage afin que les salles des Masters disposent de vues et de l’éclairage naturel ; et surélever d’un étage l’édifice pour augmenter sa capacité d’accueil tout en respectant précisément le gabarit et l’unité volumétrique architecturale.
Les deux pignons sont également retravaillés. Au Nord, l’arrivée du métro ayant inversé le sens des accès au site, le projet échange l’excroissance d’un bâtiment de logements et un pignon secondaire un peu muet pour un hall identifiable et attirant à l’échelle du campus. Un soulèvement de l’épaisseur métallique de la façade constitue un auvent protecteur. La volumétrie légère et transparente révèle une placette arborée jusque-là confinée. Au sud, l’attique reprend la combinaison constituant les étages existants alternant bandeau plein et menuiseries généreuses aux rythmes bien superposés. Cette entrée se réaffirme côté ville.
Le projet de réhabilitation consiste à rénover le bâtiment existant construit par Louis Arretche en 1967 et d’effectuer deux opérations de transformations : ouvrir le sous-sol sur un nouveau rez-de-jardin par un travail fin de topographie et de paysage afin que les salles des Masters disposent de vues et de l’éclairage naturel ; et surélever d’un étage l’édifice pour augmenter sa capacité d’accueil tout en respectant précisément le gabarit et l’unité volumétrique architecturale.
Les deux pignons sont également retravaillés. Au Nord, l’arrivée du métro ayant inversé le sens des accès au site, le projet échange l’excroissance d’un bâtiment de logements et un pignon secondaire un peu muet pour un hall identifiable et attirant à l’échelle du campus. Un soulèvement de l’épaisseur métallique de la façade constitue un auvent protecteur. La volumétrie légère et transparente révèle une placette arborée jusque-là confinée. Au sud, l’attique reprend la combinaison constituant les étages existants alternant bandeau plein et menuiseries généreuses aux rythmes bien superposés. Cette entrée se réaffirme côté ville.